Le jury trouva les 2 Bartlett coupables.
Le juge les condamna à être pendus.
J. B. suggéra :
— Il y a un arbre idéal pour la pendaison juste en face de la saloune Rabinovitch.
Quelques minutes plus tard les 2 cadavres se dandinaient au vent, cependant que Rabinovitch contemplait le macabre spectacle d’un air effaré.
CHAPITRE X
LE POSSÉ…
J. B. ouvrit la lourde porte de la cellule.
Ses 2 prisonniers dormaient.
Au dehors se tenait le possé composé d’une vingtaine de ranchers et de cowboys.
La lutte finale allait commencer.
Verchères secoua Arthur et Pomerleau.
Ils ouvrirent les yeux.
— Vous avez assez souffert, dit le chef moqueusement.
— Nous sommes libres ?
— Oui
Pomerleau menaça :
— Vous allez me payer ça, couillon.
— Oui, oui, en monnaie de singe… Mais venez-vous, oui ou non ?
— Aller où ?
— Capturer Sam Lortie, puisque l’heure est venue.
— Ce n’est pas trop tôt.
Verchères, ignorant la craque, insista :
— Vite le possé s’impatiente.
Quelques minutes plus tard les quelque 25 cavaliers quittaient Squeletteville pour s’engager dans la plaine.
Louisette était encadrée de Fred Mallette et de J. B. V.…
Celui-ci dit au cowboy :
— Tu diriges l’expédition présente ?
— Oui.
— Que prévois-tu ?
— Ceci : Quand il s’est aperçu que Louisette n’était pas au rendez-vous…[1]
- ↑ Note de Wikisourece : Il manque une partie de la phrase dans le texte original.