Mais lorsque la condition organique, d’où dépend leur mal, ne produit que des effets modérés, et que les mouvements ne sont pas encore bien gênés, ils peuvent être utilisés, mais pour de services spéciaux seulement, comme, par exemple, le service du pas dans les campagnes, car dans les grandes villes le bruit, les excitations des conducteurs, sont autant de conditions qui peuvent donner lieu à des manifestations symptomatiques exagérées.
Les causes qui peuvent faire développer les symptômes de l’immobilité ne sont pas connu d’une manière très exacte. Les divers auteurs ont réuni jusqu’ici toutes les observations qui ont été publié ou qu’ils ont vues eux-mêmes, ainsi que toutes les conditions dans lesquelles se trouvaient ces animaux. Ils en ont fait ainsi une étiologie de l’immobilité, de sorte que ceux qui ont considéré cette affection comme une maladie toujours identique à elle-même, quant à sa manifestation et à sa nature, ont aussi considéré comme pouvant la faire développer, des causes qui sont très disparate, et n’ayant pas le moindre rapport entre elles.
Ainsi, on a considéré comme cause prédominante à l’immobilité, la tête busquée, parce que cela amène une étroitesse du crâne, par conséquent elle ne pourrait se développer d’après cela que chez les chevaux normands, les danois, etc. ; mais on sait fort bien