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En conséquence, à lui le pouvoir de modifier les institutions de l’Église, lorsqu’elles touchent à l’organisme civil.
À côté de ce droit souverain, se trouve celui de protéger : grande prérogative que certainement l’Église ne lui refusera pas.
Et cette protection ne pourra manquer à l’Église, si elle règle son action sur l’intérêt général, si elle se soumet de bonne foi à l’examen du gouvernement, à sa surveillance impartiale, si elle veut vivre avec tout le monde, si elle ne fait pas caste à part au sein de la nation.
Assurant à cette magistrature religieuse le salaire indispensable à son existence, il doit, comme à l’égard de toute administration, être le maître