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voyait à peine, qui s’enfermait dans un nuage de préjugés et d’obscurités, et qu’on apercevait emportée quelquefois par huit chevaux qui semblaient la dérober aux yeux de la France[1]. »
La révolution de juillet ne montra pas une haine brutale contre l’Église, et ne se rendit pas coupable du non sens dont l’accuse M. de Lamartine, le jour où elle proclama une religion de la majorité, dans un État des cultes soi-disant libres.
Elle a constaté un fait, et voilà tout. À savoir qu’il y avait en France des luthériens, des calvinistes, des israélites, dont les croyances, sans être celles de la majorité, étaient tout
- ↑ Thiers, Monarchie de 1830.