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ler extérieurement et d’ouvrir leurs ateliers.

» Aux charretiers et voituriers employés à des services locaux, de faire des chargements dans les lieux publics de leur domicile.

» Dans les villes dontla population s’élevait au delà de cinq mille âmes, ainsi que dans les bourgs et villages, il était défendu aux cabaretiers, marchands de vins, débitants de boissons, traiteurs, limonadiers, maîtres de paume et de billard, de tenir leurs maisons ouvertes et d’y donner à boire et à jouer lesdits jours, pendant le temps de l’office. »

L’Église devait être satisfaite ; la loi se faisait dévote… elle imposait à tous la sanctification.

Mais l’Église trouva encore à réclamer :