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90· COBBESPONDA-NCB. rangée : voila Ia troisieme. La quatrieme eatin? oh! elle est trop vaste, Iaissous-la. Adieu, mon chen Yauvenargues; écrivez-moi Ie plus sou- ventque vous pourrez; quand je dis que vous pourrez, sans Miller, et croyez,que rien ne me fait tant de plaisir que vos lettres et votre

8. VAU,VEN_A1GUES IA M.IB}iBEAU.

A_p¤n¤qi>¤Q te 27 ocmimsrsv.

Puisque vous me trouyez du mérite, mon chef Mirabeau, ° il faut bien que je convienne que vous etes bon; oui, vous étes bon, je le répéte, et je le dis sans ironie. Mons et M. de Durfort sont caractérisés, dans votre lettre, pae les traits les plus naturels; je no conuais pas Saint-Tropez ; on p0uri·a:it changer quelque chose a la peinture que vous foites dc Crillong vous rendez justice a Moiiclar; il est aimable ;— je doute seulement qu' il soit aime. Adieu,_mon chér Mirabeau; je précipite ma main et mes pensées, pour vous écrire ces lignes; j’ai mille affaires aujourd’hui. Pourquoi , me direz-vous, ne pas attendre un autre jour? C’,est que jé craindrais que ma lettre ne vous trouvat plus_ en Provence. Adieu, encore une foisg je vous embrasse, je vous aime ; je meurs d‘impatience de vous voir. Conservez-moi votre amitié et vos bontés; je suis sans réserve à vous.

9. =-- MIRABEAU A CAUVENARGUES.

De hris, ca t4 janvier i738.

Votre exactitude * m’assure de votrearnitié, mon cher Vauvenargues car autre chose chez moi ne peut Yattirer. P0ur.moi,_qu0iq11e l’esprit seul me demsnde de vos lettres, croyez que c‘sst ie coaun gui me donno cet euipressement A vous répondre, car je suis xinairitenantdaus Ic

  • Ce mot soul indique qu’entro cette `iottre_et_izi précédeuto, plusieurs autres avaient du être échangées, qui manquent, malheurousement, au rocueil

qI18 DOES IYODS entre les mains. — Q.