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PRÉFACE

c’est indiquer les sources très pures et on ne saurait plus authentiques, auxquelles nous avons puisé.

Pour les années d’enfance, nous avons interrogé le frère de Mgr Verjus, celui qu’il appelait « mon Jean bien-aimé », et aussi la Sœur qui a été durant plusieurs années sa maîtresse d’école, Louise de la Sainte-Croix, religieuse de Saint-Joseph d’Annecy.

A l’un et à l’autre, pour leurs précieux renseignements, nous disons merci.

A plusieurs de nos confrères, condisciples d’Henry, nous sommes redevable d’un riche appoint de souvenirs pour les années de la Petite-Œuvre, du noviciat et du scolasticat. Tous, nous les prions d’agréer l’expression cordiale de notre reconnaissance ; tous, et plus particulièrement le R. P. Eugène Meyer, assistant du T. R. Père supérieur général, et le R. P. Pierre Tréand, supérieur de la procure des Missions à Sydney, l’ami intime du grand mort et son confident. Enfin, au P. André Jullien, Missionnaire en Nouvelle-Guinée, nous devons un document de particulière valeur : la carte du vicariat de Mélanésie.

À ce propos, une remarque est nécessaire : Les noms géographiques, sur cette carte, sont orthographiés à l’anglaise. Dans notre livre, suivant la coutume de nos pères qui disaient et écrivaient : Londres et non pas London, Gênes et non Genova, Aix-la-Chapelle et non pas Aachen, nous avons orthographié tout ou à peu près tout, à la française... Honni soit qui mal y pense !


Il ne nous reste qu’à faire une déclaration : Nous soumettons cet ouvrage, comme tous ceux que nous avons publiés jusqu’ici, ceux que nous publierons encore, s’il plaît à Dieu, au jugement et à la sanction de notre Mère la sainte Église. Par avance, d’un cœur docile et joyeux, nous réprouvons, condamnons, effaçons tout ce que le Souverain Pontife, juge suprême de la doctrine et