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XVIII


Depuis que je connais les ruses de la vie,
Celles d’amour, car les autres ne comptent pas,
Maintenant qu’à dessein je reviens sur mes pas,
Je laisse le hasard à celui qui s’y fie.

Le désir d’être aimé pour soi-même, l’envie
De rencontrer l’amante absolue ici-bas,
L’espoir de retenir le bonheur dans ses bras
Sont des rêves d’enfant que rien ne justifie.