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IV


Ayons la tête d’équilibre,
Le jour et le soir et la nuit.
Plus un chagrin, plus un ennui.
La cause : notre cœur est libre.

Sortons la lyre d’or qui vibre
De son sempiternel étui,
Chantons à partir d’aujourd’hui,
Le nez en l’air, comme un félibre.