Page:Vaucaire - Effets de théâtre, 1886.djvu/95

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Je voudrais que l’on y pût voir
Un rayon de lune qui glisse,
Que l’on sentît le vent de soir
S’engouffrer dedans la coulisse.

Entendre ainsi les rimes d’or
Qu’une belle actrice murmure
Auprès d’un bizarre décor
Moitié toile et moitié nature !