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Sur la selle carrée et large de la bête,
L’écuyère, debout, peut sauter et danser.
Vite un coup de galop furieux, et la tête
La première, affolée, elle va traverser
Ces ronds de papier peint comme on crève un nuage.

Elle en sort les cheveux révoltés, le visage
Rayonnant, ses jupons un peu désempesés
Semblent une tulipe aux pétales brisés.

Ces femmes, ces chevaux, ces clowns : une féerie

Ayant des odeurs d’écurie.