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Notre regard la frôle et touche,
Il la poursuit dans son rayon,
Il la poursuit comme une mouche
Qui voudrait prendre un papillon.

« Pour que le vent ne vous emmène
Furtivement trop loin de nous,
Cambrez vos bras et vos genoux,
Que vos pieds mordent bien la scène ! »

« Et dans la joyeuse clarté
Du lustre d’or et de la rampe,
Puisqu’en vous l’âme se retrempe,
Dansez, belle, par charité ! »