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Car on l’oppose à Ko-Mati la poétesse.
Mais le front du guerrier est bas, plein de tristesse,
Il a peur que Tsiki ne le chérisse point,
Et sur son teint fardé de miel et de cinabre,
De gros pleurs vont roulant qu’il écrase du poing,
Il songe à s’entrouvrir le ventre avec un sabre.