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Lorsque, continuant de la sorte, il en introduit la moitié dans sa bouche, le baise et le suce avec force, cela s’appelle succion de la mangue.

8. Absorption.

Et enfin, lorsque, du consentement de l’homme, l’eunuque introduit le Lingam tout entier dans sa bouche et le presse jusqu’à la racine comme s’il allait l’avaler, cela s’appelle absorption.

Chacune de ces opérations terminée, l’eunuque exprime son désir d’en rester là ; malgré la première, le client veut la seconde, puis la troisième, et ainsi de suite.

On peut aussi, pendant cette espèce de congrès, frapper, égratigner, etc.

L’Auparishtaka est également pratiqué par des femmes dissolues et libertines, et par des servantes non mariées, qui vivent de la profession de masseuse.

Les Acharyas (anciens et vénérables auteurs) sont d’avis que cet Auparishtaka est l’affaire d’un chien et non celle d’un homme, parce que c’est une pratique basse et prohibée par la Sainte Écriture, et parce que l’homme lui-même souffre en mettant son Lingam en contact avec les bouches des eunuques et des femmes. Mais Vatsyayana soutient que les prohibitions de la Sainte Écriture ne s’appliquent pas à ceux qui fréquentent les courtisanes, et que la pratique de l’Auparishtaka n’est défendue qu’avec les femmes mariées. Quant au mal qui peut être fait à l’homme, il est aisément remédiable.