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métropole s’y retrouvent évidemment et avec une intensité plus grande. On doit donc leur faire une part, et comprendre que tout ce qui en peut provenir doit être écarté, car assurément les écoles sont distinctes par leurs principes ; et les circonstances dans lesquelles les principes s’appliquent, en singularisant les œuvres, ne les peuvent singulariser qu’à un certain point ; ou alors on nierait aux principes leurs vertus, et il serait bien inutile d’en faire si grand bruit.



NOTES.

(1) La Mort d’Orphée, peinte par Lappoli, a disparu.

(2) Vasari a déjà parlé du Pollastra dans la vie du Rosso, et il le mentionnera encore tout à l’heure dans la biographie de Niccolò Soggi. On croit que ce Pollastra est l’auteur d’une traduction de l’Énéide, publiée, en 1540, à Venise, par Giovan-Antonio et Domenico Volpini.