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complètement d’être employée en Angleterre, en Allemagne, en Hollande. Il y a plus : dans ces derniers temps, de 1823 à 1825, un émailleur de Paris a peint, pour la Sorbonne et pour Saint-Denis, des vitraux où certainement le procédé des anciens verriers serait entièrement reconstitué, s’il avait pu cesser d’être connu.

Ce que nous avouerions plus facilement avoir été perdu, et être pulls difficile à retrouver, c’est la naïveté des vieux types gothiques, et la capricieuse entente de la couleur, ou encore les indications hardies et la science profonde des Jean Cousin, des Bernard de Palissy, des Guglielmo da Marcilla. Mais ceci est une question d’art, et nullement une question de pratique.

Voir principalement : l’Essai sur les peintures sur verre, de E.-H. Langlois ; — les Monuments français, d’Alexandre Lenoir ; — l’Histoire de l’art par les monuments, de Séroux d’Agincourt ; — l’Encyclopédie méthodique (art. du chevalier Jaucourt) ; — les Principes d’architecture, par Félibien.