(9) Ce tableau a été transféré de l’église de San-Francesco dans le grand réfectoire des conventuels.
(10) Ce gradin n’existe plus.
(11) Mariotti parle, dans ses Lettere Perugine, p. 274, d’un tableau fait par Luca pour un médecin français, et au bas duquel on lisait cette inscription : Egregium quod cernis opus Mag. Aloysius Physicus ex Gallia et Thomasina ejus uxor devotissima suis sumptibus poni curaverunt. Luca Signorelli da Cortone pictore insigni formas inducente. Anno D. MDXV. — Le gradin de ce tableau passa dans la maison des marquis Odoardi d’Ascoli.
(12) Francesco Morelli, dans ses Notizie delle pitture di Perugia, fait mention de ce tableau qui par conséquent devait encore exister l’an 1683. Il était accompagné de cette inscription : Jacobus Vannutius nobilis Cortoniensis, olim Episcopus Perusinus, hoc Deo maximo et divo Onofrio sacellum dedicavit : cui in Archiepiscopum Nicænum assumpto nepos Dionysius successit, et quanta vides impensa ornavit æqua pietas. MCCCCLXXXIV.
(13) Ce tableau renferme l’inscription suivante : Lucas Ægidii Signorelli Cortonensis MDII.
(14) Des deux autres tableaux, l’un représente la Nativité du Christ ; le second, la Conception avec quelques anges et six prophètes.
(15) Nous sommes étonnés que Vasari ne fasse point mention des trois magnifiques peintures que Luca exécuta à Sienne, dans le Palais de Pandolfo Petrucci. Le premier de ces tableaux représente la découverte des oreiiles d’âne de Midas. Sur le piédestal du trône royal on lit l’inscription suivante que nous copions textuellernent :
Et un peu au-dessous :