(2) L’église de San-Michele-Berteldi prit plus tard le nom de San-Michele-degli-Antenori.
(3) Dans le Forestiere illuminato, imprimé en 1740, on lit que San-Giorgio-Maggiore possède un Crucifix en bois sculpté par Brunelleschi.
(4) Simone da Colle di Valdelsa, surnommé de’Bronzi, fut un des sept artistes qui concoururent pour les portes de San-Giovanni de Florence. Il fut élève pendant quelque temps de Jacopo della Quercia.
(5) La huitième partie environ de cette galerie fut construite en marbre de Carrare sous la direction de Baccio d’Agnolo. On l’abandonna lorsque Michel-Ange, après l’avoir vue, s’écria qu’elle ressemblait à une cage à grillons.
(6) Voyez les mesures et les dessins de cet admirable édifice dans le Tempio Vaticano de Carlo Fontana.
(7) Le docteur Brocchi, p. 245 de ses Vite de’ santi fiorentini, prétend que ce chapitre fut construit vers l’an 1400 ; mais alors Brunelleschi n’aurait eu que vingt-trois ans.
(8) Le palais que Cosme fit ensuite bâtir fut élevé sur les dessins de Michelozzo, comme Vasari le raconte dans la vie de cet architecte.
(9) Un Fancelli florentin travailla un siècle plus tard dans la cathédrale d’Orvieto.
(10) Voyez la Descrizione dell’Imperial Giardino di Boboli, fatta da Gaeiano Cambiagi, etc. Firenze, 1757. — In-8o.
(11) Voyez l’ouvrage de Ferdinando Ruggieri, intitulé : Studio d’architettura di porte e finestre, etc.
(12) Un semblable spectacle eut lieu à l’occasion du mariage du prince François, non à San-Felice, mais dans la spacieuse église de Santo-Spirito.
(13) Le pape Eugène IV avait demandé à Cosme de Médicis un architecte auquel il voulait confier la construction d’un édifice qui, toutefois, ne fut point exécuté. Cosme lui envoya Brunelleschi avec une lettre dans laquelle il disait : « J’envoie à Votre Sainteté un homme d’une telle habileté, qu’il serait capable de retourner le