Page:Varley - Une jeune fille à la page, 1938.djvu/82

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 82 —

Il l’enlève enfin avec des difficultés ; l’étoffe glisse, s’arrête en chemin, résiste, puis de nouveau cède ; je sens ses mains qui s’impatientent.

Il me jette brusquement sur le lit. Il me relève les jambes en l’air, il se met à me sucer.

Je ne puis m’empêcher de l’approuver par mes cris.

— Oh ! mon chéri, comme tu me suces !… Comme tu me manges !… Là, là, où je mets mon doigt, suce-moi le bouton !… Oui, oui, suce, suce, jusqu’à ce que je mouille !… Oh ! tu me mords !… Oh ! tu me manges les petites lèvres !…

Sa bouche quitte mon con, il la remplace immédiatement par sa main pour que je ne perde pas mon plaisir.

Maintenant il est debout ; sa main qui n’est pas occupée à aller et venir sur mon clitoris relève mes jambes ; je sens que le redoutable organe va faire son office. Oh ! mon Dieu, j’ai peur et j’en ai envie.

Je le supplie :

— Attends encore un peu, mon chéri !… Suce-moi encore un peu pour que je sois plus mouillée, ça entrera mieux, tu es tellement gros !

Il se baisse, donne de nouveau quelques rapides coups de langue. Il me fait cambrer la croupe et me lèche aussi l’autre trou. Je sens cette pointe chaude qui me perfore, qui va et vient dedans. Pour le coup je n’y résiste plus : je mouille… je mouille…

Alors, il se remet en position et je sens l’énorme queue chercher l’orifice. Il écarte des deux mains mes lèvres, se plante bien droit ; je m’ouvre le plus possible.