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Je suis comme furieuse, déchaînée ; il me semble que je me venge, que j’assouvis je ne sais quelle rancune.

Je me dis : « Tiens, voilà ce que j’en fais de ta queue ! Tiens, je me la mets dans le fond ! Tiens, je n’en veux plus, je la rejette ! Tiens, je vais la pousser et la mordre avec mon con ! Ah ! tu bandes ! eh bien ! je vais te faire décharger, tu verras comme tu vas décharger ! Tu verras comme tu vas m’arroser !… »

Lui, derrière, s’est mis à me donner des petites claques sur les fesses qui se répercutent en moi, qui se prolongent.

Et puis, tout à coup, il m’immobilise.

— Attends !… Arrête-toi !… Tu vas me faire décharger !… Pas encore !… Attends un peu !… Tourne-toi maintenant, tourne je te dis, que je sente mieux tes fesses !…

Il me fait virer sur moi-même, lentement, pour que sa queue ne sorte pas du trou.

Je lui présente le dos maintenant. Et c’est encore meilleur.

Je suis complètement assise sur lui comme sur un fauteuil, bien assise, bien en plein, empalée. Sa queue me va loin comme jusqu’au cœur ; il me dit :

— Et comme cela, tu aimes, tu aimes que je te la mette comme ça ? C’est cochon comme ça, hein ? Cela te plaît de t’asseoir sur une queue ?… Tu aimes bien avoir une queue dans le cul ?… Cela te démangeait, hein, salope ?

Je lui ai passé sa main devant et je lui fais frotter mon clitoris. La queue, forcée par la position que j’ai prise, élargit encore le con et je recommence à chevaucher furieusement.