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— Oh ! tu peux toucher, t’as pas besoin d’avoir peur ! Il te bouffera pas !

Il rit.

— Ça serait plutôt le contraire.

Si bon enfant que je ne peux pas me fâcher.

— Tiens, assois-toi en douceur, mon petit gars !

Une position que je ne connaissais pas encore.

Cette fois je tiens bien en main ce membre dur, solide, je joue avec, je m’amuse et ça ne me dégoûte pas et même une certaine émotion me vient. C’est agréable, sympathique à tenir.

Le désir commence à se préciser en moi, prendre cette queue, l’amener vers moi, bien l’ajuster en face de l’orifice et l’enfoncer d’un coup au fond.

Il a dû comprendre, car sa main me cherche. Il m’a refoulée dans l’angle de la banquette. Il me presse, il a saisi mon genou.

Au dehors c’est la nuit, l’obscurité presque complète, nous avons dépassé la porte Maillot, nous roulons dans le Bois, maintenant.

De temps en temps, une voiture arrêtée où des femmes doivent être, les jambes bien écartées, en train de mouiller.

Il lâche mon genou, monte rapidement, si vite, empoigne mon con, sa main branle vite les petites lèvres, son doigt pousse à l’intérieur.