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— Regarde-toi entre les jambes !… Oh ! j’aimerais tant que tu te regardes entre les jambes, que tu voies comme tu es belle. Cela me fera plaisir !… regarde-toi !… regarde comme tu es belle !… Accroupis-toi !…

J’obéis.

— Oh ! tu ne vois pas assez bien ! je veux que tu te voies mieux. Attends !

Il me fait accroupir sur le tapis. Il va chercher sur un guéridon une petite lampe, une autre glace. Il se baisse, place la lampe entre mes jambes, pose la glace sur le tapis.

— Regarde ! Tu te vois, maintenant ? Regarde tes petites lèvres comme elles sont roses ! Tu vois comme je les écarte avec le doigt ? On voit la petite grotte profonde ! Là, tu sens, où je mets le doigt ?… C’est par là que tu mouilles, hein ? cochonne !… Et là, la vallée qui sépare ton petit con de ton petit trou du cul ? Là, la vallée où je glisse mon pouce ?…

Il approche la lampe. L’ampoule me chauffe doucement, pas d’une manière désagréable.

— J’aime tant regarder tout cela. Tout cela qui est vivant, qui bouge, qui réclame… Dis, ça ne t’embête pas trop que je regarde ? C’est si beau une jolie fille comme toi, quand on la regarde en détail. Écarte tes lèvres ! Fais comme moi ! Vois ton bouton ! Tu jouis quand on appuie dessus ? Tu jouis, hein ? il ne faut pas appuyer longtemps !…

Je suis un peu fatiguée d’être accroupie, il m’aide à me relever, me met sur le lit. Il décroise mes jambes. Il les élève en l’air, me repousse vers le milieu du lit. Il pose ma propre main sur ma petite grotte.

— Tiens, caresse-toi !… caresse-toi fort !…