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Sa bouche se pose sur mon petit trou de derrière, mordillant les poils, puis mange voracement les bords plissés de l’anus. Et la langue entre, glisse dans cette partie brûlante de moi-même, va et vient dans le trou déjà si excité.

C’est une impression d’une douceur inouïe, réveillant les sensations agréables que j’ai toujours quand je m’accroupis.

Le petit orifice serré d’abord, frissonne, s’amollit devant l’insistance de la langue qui pénètre, qui ressort pour pénétrer de nouveau plus loin. L’affolement me gagne toute entière. Nos deux mains se rejoignent sur l’autre côté de ma personne, au bord des petites lèvres.

Je prends sa main, que je plaque sur mes parties intimes, le guidant, lui faisant trouver du premier coup le monticule érigé et tout mouillé, réglant avec ma main la cadence de la sienne, la faisant courir vite, puis s’arrêter comme morte, puis recommencer sa course à mesure que la langue pointue et bonne me suce l’anus.

Une halte, nous reposons l’un près de l’autre.

— Comme vous êtes belle !… je veux que vous voyez comme vous êtes belle !

Il se lève, me fait lever, je résiste un peu, mais il me tire devant une grande glace. Visiblement, il prend un plaisir sincère à cette démonstration.

— Regardez ces seins que vous avez, ces deux seins en pommes, et ce bassin, cette chute de hanches ! Oh ! le beau cul que tu as !

Et puis… Il hésite et lâche enfin le mot.