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commence à me tourner. Il s’arrête, lâche la pointe de mon sein…

— Je veux te voir, je veux voir comme tu es belle !

Il se lève, ma croupe enfonce dans le divan intime. Je commence à ressentir par là aussi cette inquiétude, ce désir, cette irrésistible envie que j’ai d’être caressée par là, que j’ai chaque fois que je m’assois sur un divan qui me plaît.

Cela me rappelle le bon divan de chez nous, qui était comme vivant, qui me branlait chaque fois que je m’asseyais dessus.

Gérard est devant moi, il dégrafe mon corsage.

Ce n’est pas si facile, mais la joie, le bonheur de le voir s’énerver, me désirer de plus en plus à mesure que les vêtements résistent ! Enfin, les bras passent.

La jupe, maintenant ; ma croupe refuse de se laisser dépouiller et les mains, les bonnes mains luttent avec elle, l’empoignent pour qu’elle se laisse faire. La jupe glisse lentement, frotte les cuisses, frotte les mollets, laissant sur son passage un contact qui se répercute en frissons dans tout mon corps.

Il y a encore la ceinture !…

La ceinture, elle, serre les fesses. Il veut l’enlever, il me tourne et me retourne pour la saisir plus commodément, si excité qu’il en est maladroit.

Puis, brusquement pris d’une idée, la laisse sur moi, la remonte seulement un peu. Il ne peut plus attendre et me force à m’agenouiller sur le divan en lui présentant ma croupe.