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Je vais le savoir. Il m’embrasse, s’empare de mes seins, les triture, puis… Il s’assoit sur un petit canapé qui est là en exil. A-t-il servi à abriter les amours de Stasia, lui aussi ? Il me fait agenouiller devant lui.

Alors il s’empare de ma main et il la force à déboutonner son pantalon. Ce qui me bondit au visage, c’est un beau sexe bien raide.

— Tiens ! voilà ce que tu vas me faire !…

Sans hésiter, il courbe ma tête vers le priape, il colle ma bouche contre la petite bouche de son sexe, tout cela est fait d’une manière si décidée que je n’ose pas dire non et puis j’ai envie d’y goûter, moi aussi. C’est bon, c’est dur, on a envie de sucer, de faire mal, de mordre !…

Il retire sa queue de ma bouche.

— Attends, je ne veux pas jouir tout seul, je vais te faire la même chose.

Il va vers la porte, ferme le loquet. Heureusement qu’il y en a un !… Nous sommes maintenant tous les deux sur le petit divan, il s’est couché sur moi.

— Viens ! viens ! dépêche-toi, j’ai envie de sucer ton petit con, de savoir quel goût il a… Oh ! comme il doit être bon quand il mouille !… Tu me mouilleras dans la bouche, dis ?…

Il me fait placer tête-bêche. À travers sa culotte, qu’il rabat sur ses genoux, j’ai dans la bouche son membre fier et tendu qu’il m’enfonce et que j’embrasse partout, de haut en bas, tantôt m’efforçant de l’engloutir, tantôt suçant le bout seulement, le serrant avec mes lèvres comme un anneau, tantôt le sortant de ma bouche et donnant un coup de langue rapide sur le gland, sur le filet.