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À monsieur de Termes58, quinze mil livres.

À monsieur de la Roche Guyon, dix mil livres.

À monsieur le vicomte de Pardaillan, dix mil livres.

À monsieur de Rauquelaure59, trente mil livres.

À monsieur le vicomte de Sardigny60, soixante mil livres.

À monsieur de Suilly, quarante mil livres61.

À monsieur le marquis de Rosny, vingt mil livres.

À monsieur le marquis de Nesles, vingt mil livres.

À monsieur le marquis de Cœuvre62, dix mil livres.

À monsieur de Vantadour, vingt mil livres.

À monsieur le comte de Fiesques63, vingt mil livres.

À monsieur le vidasme du Mans, vingt mil livres.



Maximes, fait en 1612 maître de la garde-robe par le maréchal d’Ancre, et duc et pair en 1622 par Louis XIII.

58. Le baron de Termes, frère du duc de Bellegarde. Il mourut cette même année, 1621, le 22 juillet, d’une blessure qu’il avoit reçue au siége de Clérac.

59. Antoine de Roquelaure, maréchal de France, mort en 1626.

60. Scipion Sardini, financier anobli. V. sur lui et sur sa maison le t. 5, p. 221.

61. Le duc de Sully. Ce grand ennemi des pensions ne laissoit pas, comme on voit, que d’en toucher une assez bonne, sans préjudice de celle dont étoit gratifié son fils, le marquis de Rosny, qui suit ici la sienne.

62. François Annibal d’Estrées, marquis de Cœuvres, se rendit fameux dans les ambassades. Il étoit frère de Gabrielle. V. les Caquets de l’Accouchée, p. 149.

63. Charles-Louis, comte de Fiesque, qui joua un rôle dans la Fronde parmi les conseillers de Gaston. Sa femme,