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n’est pas à nous d’establir la part que nous luy devons d’obeissance et d’admiration aux œuvres de son espoux.
Ce qui fait voir et reconnoistre avec admiration que, comme catholiques et apostoliques romains, nos affections et pensées nous unissent en union de sentimens, qu’aussi nos intentions et desseins nous transportent avec devotion à la vraye science et connoissance de la foy qui nous unit à Dieu, à l’honneur et gloire duquel tout se rapporte.