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(54> f r b d b r x e. Vous l’entendez ; il avoue «on crime , et bientôt il en rt- cevra le juste châtiment» Qu’on Pôte de ma présence. ( On Ventraîne. ) s x M F l s T. Là î qu’est-ce qui aurait dit ça"? SCENE XII ET DERNIERE. Les Précédens , excepté, M A O U L. CLOTILDE. Cher époux î FREDERIC. Nous n’fevons plus rien* à redouter de cet homme abomi¬ nable. EVRARD. Et Thibaut , son complice , est entre nos mains ; il sortait par la porte du souterrain qui donne vers la forêt , lorsque je l’ai aperçu. Je<ne suis emparé de iui9 comme vous me l’a¬ viez ordonné , et il attend dans les prisons du château le prix de ses forfaits. FREDERIC. Les lois prononceront sur leur sort. ( A Clotilde. > . Pardonne-moi d’avoir différé de voler dans tes bras; mais je voulais connaître jusqu’à quel point ce monstre pouvait porter la scélératesse. Ses projets sont déçus , ne pensons dé¬ sormais qu’au bonheur d’être réunis. SIMPLET. Ah ! Seigneur, la joie.», la peur... la surprise... j’ai tant d’choses à~vous direque je ne vous dis rien..» Mais demain.*. EVRARD. .\tt C’est bon, c’est bon. couci. Çue des jours heureux vous fassent publier jusqu’au sou¬ venir de vos malheurs !,\t, FRBDEric.\t* • Je puis donc espérer le sort le plus doux, puisqu’enfin ;• «trouve une épouse chérie etl’gmi te plus sincère. FIN. F