Page:Varez et Mardelle - Frédéric, duc de Nevers, 1810.djvu/52

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I ■’y ( 5a ) 'T h i 6 a u t , paraissant. ' Nous sommes trahis i fuyons 1 ( il se sauve. ) VREDERIC.\t• Oui , je viens dévoiler la trame la plus noire... J’entends quelqu’un 9 garde-toi de me faire connaître 9 et laisse moi le tems de confondre un misérable. S C E N E X. Les Précédens, SIMPLET , EVRARD, les Villageois 9 ROGER 9 Gardes 9 ensuite CLOTILDE. s i m p i* n t 9 d la cantonade. Le voilà 9 le voilà ; par ici9 par ici, mes amis. ( Lés soldats font un mouvement pour s3emparer de Frédéric. > c o u c x j les arrêtant. Arré tes > arrêtes 1\t|\t> clotilde, arrivant. Qu’ai-je entendu ? quels cris !... couci. ' Ne , craignez rien 9 Clotilde , j’échappe au, péril qui me menaçait, voilà celui qui devait m« frapper ; mais ce crime était si affreux qu’il n’a pu l’exécuter 9 et son poignard est tojnbé à mes pieds. C Z. O T I Z. S S. O ciel ! je te rends grâce ! simplet. V’ià Pseigneur Raoul. CLOTILDE et COUCI. Raoul ! SCENE XI. Les Précédens, RAOUL. R A b U L. Quel bruit effrayant est venu jusqu’à moi ? et queviens-je d’apprei^dre ? Quoi 9 uh assassin... ( Apercevant Frédéric. ) Dieu ! il n’est point évadé !\t* vRED«nic,d par/. Enfin | ma vengeance s’apprête. c o u c i , û Raoul avec intention. Remettes»vous 9 Raoul ; vous le voyes 9 le crime n’à point été consommé. « X. 0 T I 1, D B. Il faut que cet homme^dêclàre à l’Instant. les monstres qui lui Ont ordonné tet horrible attentat. Digitized by Google