Page:Varez et Mardelle - Frédéric, duc de Nevers, 1810.djvu/51

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( 5i ) -\tFREDERIC. Et ton maître où est-il ? THIBAUT. Dans les environs de cette salle , prêt à se montrer aussi¬ tôt que Couci aur^a été frappé , afin de détourner par sa pré¬ sence jusqu’au moindre ^soupçon. Je te laisse , cache-toi derrière cette colonne... n’oublie rien : la galerie..» le sou¬ terrain... la porfb donnant sur la forêt. FREDERIC. Sois tranquille , je réponds de tout. Thibaut, a part. Restons , et surveillons l’exécution dç nos desseins* ( il te cache d Ventrée de la galerie, )\t, fbedrric, Vapercevant. Il m’observe... tant mieux , dissimulons. ( à demi voix. ) Misérables, vous êtes donc enfin tombés dans le piège ?... Vous m’avez chargé de l’exécution de votre crime \ et c’est encore par vous que je suis introduit dans ce château... Clotilde va revoir son époux.». je vais presser sur mon sein un ami qui m’est bien cher , et par ma présence faire trem¬ bler l’infâme Raoul... Mais on vient..• C’est Couci. t\t_ S CE N Ê IX. COU CI, FRÉDÉRIC,THIBAUT, cacké. couci, sortant de chez la Duchesse. La Duchesse est en sûreté , et je vais maintenant. •• ,\tfrederic, se présentant. Demeure ! .\tcouci.. Que vois-je ? mon assassin. A moi, gardes !\tv F R E D E R. I C. Ne crains r^en , Couci ; voilà comme j’e£écute les or¬ dres que j’ai reçus. ( il jette son poignard. ) Viens dana mes bras. '\tv .\tcouci, surpris. Que signifie !... ?\ty B X D B B I C. Eh quoi ! tu ne reconnais pas ton ami ?\t• couci.\t. Qu’entends-je ?\t( FREDERIC.\t. Viens donc sur le cœur de Frédéric ! couci.\t. Grand dieu ! c’est toi , ô bonheul ! ( il se précipite dans fs'bras. )\t.