Page:Varez et Mardelle - Frédéric, duc de Nevers, 1810.djvu/40

Cette page n’a pas encore été corrigée

1 ' - ■ - ■ ‘ - 1 ,\t< 4o )\t• -\tFREDERIC. C’est d’aller trouver le chevalier Couci , la Duchesse, et* de leur découvrir votre complot: une forte récompense est en¬ core le prix* de mon dévouement; ainsi tu vois qüed’uno manière ou d’une autre ma fortune est faite. T h t B a u t, d part. Quel diable d’homme est-ce là ! (d /'Ydddwo.) Mais il pa¬ rait que tu entends les affaires, et que tu sais prendre un .parti/,' :>’ • A .\t,\t.\t'\t•\t’\t’ f >•\t. ' .\t< s»\tF R B D K R i c.\t*\t• ' ‘\t, Comme tu dis, Hàte-toi donc de me dire si c’est tous ou

  • la Duchesse que je dois servir.\tt

THIBAUT. Il n’y a pas à balancer, c’est nous. FRED’ERlC. A la bonne heure. . THIBAUT.\t. x . Mais dans l’occasion, pouvons-nous compter sur tes ca¬ marades? < FREDERIC. Comme sur moi-même... Quels moyens comptez.vous em¬ ployer? . THIBAUT. A dix heures trouve-toi sur la lisière de la forêt, j’irai te {>rendre moi-même. Tu seras introduit dans le château , et ’on te procurera le moyen d’approcher de celui que tu dois frapper.\t' 4 FREDERIC. Il suffit. Reposez-vous sur moi. T H r B A ,U T. A propos.», pourrais-tu me donner quelques renseignement sur une inscription changée... par je ne sais qui ? FREDERIC. C’est le même personnage à la poursuite du quel vous étiez tout à l’heure, et dont les paroles ont si vivement inquiété le seigneur Raoul. ,\tTHIBAUT.\t* Quoi ! tu sais aussi... FRÉDÉRIC. T’ai tout vu, tout entendu ; tandis que vous étiez à sa recherche, il a repris sa place parmi les paysans ; ses vê¬ temens , semblables aux leurs, vous ont empêché de l’aper¬ cevoir.\t, , t THIBAUT. Tu le connais donc ?\t* FREDERIC. . Oui, j’ai observé ses démarches. Soyez tranquille, avant Digitized by C )gle