Page:Varez et Mardelle - Frédéric, duc de Nevers, 1810.djvu/39

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FTT < Î9 ) THIBAUT^ Tu n'étais donc pas seul £\t-\t*\t1 .\tf,. PRÉd£. BIC.\t-\t• Seul ?... non... Pavais , avec «noi une trentaine d'hommes déterminés, et tu devines bien ce qui te serait arrivé. T H I B A U- T.\tt\t, Oui, oui, je le devine.\tm >\t„• -, J\t-\t9 a:i 1> é Bîï C. ■ H\t«v Mais , .nQn, tu te serais fait connaître... Alors tu n'avais plus rien à redouter. Un madré comme toi est bien reçu par¬ tout; tu fais l'homme de bien avéoles honnètesügens , ils sont tes dupes ; coquin de profession, tu sers tes semblables : va, c'est un sûr moyen de bien vivre avec tout le monde , et je pense que tu en aurais été quitte pour t'associer à nous. t h p b a u T. Ce n'est pas de cela qu'il s'agit. Quels sont tea .desseins maintenant ? ' f b i* © 4 n x c. Ah! maintenant c'est autre chose* Ma fortune est faite > et c'est à toi seul que je la devrai.\t■\t. THIBAUT. Je ne te comprends pas. r a £ D i il i c .\t' • Je vais te mettre au fait. G'est avec le chevalier Raoul que tu causais tout à l'heure. Je' cônnais vos craintes f vos espérances ; je sais que vous avec le projet de faire disparaî¬ tre le sire de Couci du séjour des vîvans. " THIBAUT.\t, Et quel parti prétends-tu tirer de notre indiscrétion ? r a é d A b î c.\t' Mais un fort bon. Aujourd'hui même je sors de l<a misère dans laquelle j'étais plongé depuis si long-tems. THIBAUT. Comment? -\t* F B é D B A I C. .Oui, d'une manière ou d'une autre. La conversation que je viens d'entendre doit assurer ma fortune , et voici com¬ ment. Vous avez besoin d*un homme pour exécuter vos pro¬ jets , n’est-ce pas ? THIBAUT. Oui. Eb bien?\t' Z\tFBéUKBIC. Eh bien? me voilà. Vous me chargez de la commission , j’agis et vous me récompensez largement. Si vous refusez de vous servir de moi... il me reste un autre moyen. THIBAUT. Quel est-il î\t-\t-