Page:Varez et Mardelle - Frédéric, duc de Nevers, 1810.djvu/37

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/ ( 37’ ) 'THIBAUT. Résumons-noos. Couci soutient Clotilde dans son îrréso- /ution : sans lui, elle aurait déjà rempli tous vos désirs; il est donc le seul obstacle.à votrehythen , je détruis l’obstacle et vous triomphez»\t? RAOUL. Tu me fais frémir»\t•\t— ..I bwr-J THIBAUT»' C’est lorsque Frédéric tomba sous vos copp^ ijt/’îl- Aillait trembler... maintenant un second crime est indispensable. RAOUL.\t' ’ T' ’ • ‘ 1\t’ Mais comment^ sans être découvert... '\t:\t•\t; T H I B A U T. Cela me regarde»\t,\t. R A O U L» Quoi? tu oserais... THIBAUT. - Non pas moi, je pourrais être aperçu ; on sai&qtue jé vous appartient, et tout serait perdu. Fies-vous à mon adresse. RAOUL.\t,\t•\t' t Je m’abandonne à toi. •\tî\t' '\t-r ,\tTHIBAUT.\t'\t'\t,\t’ Il suffit... mais voicp la nirit. Rehtrez au château ç.moi/]• vais méditer l’exécution de mon projet. baoul.\t•\t■ >-f. . Des richesses.•• des honneurs si tu réussis.•• ,\t,\t. •\t>\t' ' THIBAUT.\t- .\t/i l Des richesses , bon ; des honneurs * je n’y prétends pas* . (RsobZ 4orT. Thibaut Raccompagne jusqu'au fondde lu ' scène. )\t‘\t*\t. * SCENE XI X. F RÉ D É R I C, T H I B A Ü\t. r a i D É r î c, sortant de la chaumière. Les scélérats l... sachons ^profiter du hasard. Ce déguise* ■est favorise mes projets.\t(il s'assied.)\t’ thibauT} rêveftàht en scène..\t, J’ai toujours détesté les demi-mesures : ÎI faut savoir frap* (tr des coups hardis.\t'\t.\t. / ; Frédéric , â part.\tr Je vais Ven porter un auquél tu ne t'attends pas. Thibaut 9 apercevant Frédéric qui le regarde fixement. ' Allons... Qu’est-ce que je vois là ? I\t( : r. ré d & p,&c ^fipart.\t\ f Ma présence l’étonne*. ;\t,;t\t»\t,\t. v * L