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ne fait présumer que le traître s’était échappé. D'après mon ordre, on est à sa poursuite, et bientôt, je l’espère, il sera en notre pouvoir. \\t; t couci. Je veux Joindre mes recherches aux vôtres. Chevalier. Le repoè dé madame la Duchesse ne peut être assuré que lorsqu’elle connaîtra le sens de ses paroles my&térieues. CLOTILDB. Je retourne au château. Il m’est impossible de supporter plus long-tems le trouble' qui m’agite. ' .\tRAOUL. Souffrez, madame i que je vous accompagne , et reposes- vous sur moi du soin... CL O T IL » B. Laissez , Raoul, laissez-moi le tems de me remettre de ta terreur ou m’ont jetée les événement de cette journée. Sui- ves-moi , Couci.\t, s v a a a n. Nous ne vous quitterons pas , madame la Duchesse. Per¬ mettez-nous aussi de vous accompagner. Noua serons plus tranquilles, lorsque nous yous saurons rentrée au château. couci. Venez , mes amis. ( Sortie générale. Clotilde est appuyée sur Couci) et tou* les villageois sont grouppés autour d'eUe.) S C E N EX V I. RAOUL. Tout est perdu ! car, je n’efi éhurais douter, je suis décou* vert. Qui donc a pu percer le voile dont je me croyais enve¬ loppé , et instruire pet hoimne ?... Ah ! combien je dois me féliciter qu’il ait échappé à mes recherches i questionné par Clotilde , il aurait pu lui faire connaître... Heureusement il n’eat pas tombé en notre pouvoir ; Thibaut seul est à sa pour¬ suite... Qu’il me tarde de le revoir et d’apprendre.... Maie le voici. SCENE XVI I. R A O U L , T H I B A U T. RAOUL. £h tyien ! Thibaut, cet homme... THIBAUT. Impossible de découvrir ses traces. x A o w i. Ah ! je tremble de voir, en un instant, perde le fruit de tant de soins»