Page:Varez et Mardelle - Frédéric, duc de Nevers, 1810.djvu/33

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, <33> C L O t I L D E et RAOUL. Qu’en tend s-je î\t* ■ •\t- - !\tSimplet. On a parlé. '\t\\tcouci. Pais.\t< ' ibédsmc, accompagné par une musique sourde et mysté- '\t1\trieuse. ' D’un époux infortuné >\t> • GlOtilde 9 apprends enfin le destin déplorable : 11 t'aimait ; il était généreux , équitable : IL fut assassiné !\t{Il teferme la croisée.) C L O T I L Û B. Qu’ai-je entendu î O mon Dieu 2 RAOUL.\t. Tout est découvert. .\tcouci. Quelle épouvantable révélation 1 clôtildEjû tout le monde. Mes amis , entrez dans cette chaumière, emparez-vous de ce mystérieux personnage; je veux le voir... je veux con¬ naître toute l’étendue de mon malheur. RAOUL. J’y vais moi-même , madame : je suis plus que vous in¬ téressé à connaître cethomqie. simplet. J’vons conduis y seigneur Raoul. C’est sans doute le même qui nous a joué ce tour. CLOTILDE. Hâtez-vous. SIMPLET. Tiens | la porte est fermée au verrou». couci. Il est facile de l’enfoncer. SIMPLET. JLaissez-donc, enfoncer ma porte... il y a un autre moyen. ( U passe par la fenêtre, ) Le v’ià. J’vas vous ouvrir. ( il ou¬ vre la porte, ) Venez , venez avec moi. R a o u l | aux gardes. Entrons. clotilde, aux gardes. Gardes 9 suivez Raoul. EVRARD, à part. 11 a eu le tems de s’éloiger. ( Raoul et les gardes entrent dans la chaumière. ) Duc de Nevers.\tE