Page:Varez et Mardelle - Frédéric, duc de Nevers, 1810.djvu/30

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y\t« I M P L « T.\tt Sans doute , sans doute ; mais il y a moment pour tout > et n’faut pas choisir , pour attrister not’ bonne maîtresse l’instant où nous allons nous divertir. C’est pas ça qu’il fal¬ lait dire, c’était l'contraire.\t> .\t,\t7\tk v n a K d. Com meut î\t,\t'\t. simplet. t II fallait ben plutôt féliciter madame la Duchesse sur l’hy¬ men qu’on dit qu’elle va contracter.\t. , '\tcouci. L’hymen !\t, .\t- simplet.\t> Oui} sans doute, avec monsieur l’chevalier Raoul...\t, evrard, bas à Simplet. Que dis-tu , malheureux î\t; s/implet, bas i Evrard. Laissez-donck; c’est dans mes instructions. *\t' cou c î. Le chevalier Raoul ! '\tsi MP L e t. Oui, certainement... c’est toot’ vœu à tous tant que nous sommes ; d'abord parce que nous l’connaissons , qu’nous sa¬ vons qu’il est brave et ben capable d’nous défendra contre ceux qui en veulent à nos chaumières, et pis parce que nous , savons aussi qu’il f’ra l’bonheur de madame la Lhichesse ; n’est-ce pas , mes amis ?\t’\t, x\t; tous. Oui< oui } vive madame , la Duchesse P vive le chevalier Raoul !\t, couci. Que faites-vous 9 mes amife T Bornez-vous à former dé» vœux pour madame4a Duchesse ; «nais laissez là libre dé son choix. Vous appartient-il de lui désigner un époux 5 et qu’à de commun le chevalier Raoul avec le motif qui vousraSsem- Me en ces lieux ? . '\tRAOUL.\t. Eh ! * pourquoi, Chevalier, blâmeriez-vous ces bons villa¬ geois d’oser exprimer leurs désirs ?... Ils connaissent mon amour pour Clotilde ; ils pensent que mon hymen avec elle peut assurer leur tranquillité ’, je rte vois rien fà qui puisse exciter votre courroux. ' 1 ' <\t> CLOTILDE, d Couci.\t" x Non , sans doute , et je ne saurais moi-même leur en faire un crime, ils redoutant les malheurs de la guerre, -elzxette crainte les rend excusable ; mais rassurez-vous, me? amis , vos paisibles demeures ne seront point ravagées ; un ami sur .M