Page:Varez et Mardelle - Frédéric, duc de Nevers, 1810.djvu/25

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Br ,\t■ ,\tC »5 >\t, r b £ d î e ) allant directement à Evrard lui dit tout bas. Attendez moi ici, Bon Evrard.\t>\t\\t, b vk a^r d , surpris.\t‘ Moi? ‘\t\\t. /\tsimplet, aux Paysans. '•\t■ '•\t/ Il parle à mon frère , j’crois... {U s’approche pour écouter en ce moment Frédéric fait avec* la tête un geste affirmatif à la question d’Evrard.) Pvoos l’disais, toujours avec la tête. ^Frédéric en se retirant regarde une seconde fois Pins* cription, fait Un Mouvement d’horreur et sort précipitant méat. )\t,\t. , S C E N E V. ■\t. Les- Précédens f excepté, F R É D É R I C. simplet.\tx Tiens! ça n’a pas Pair d’être de son goût !... Eh ben , oit 1 lui en fera d’plus belles..> Le v’ià parti toujours. ,\tEVRARD. Cet boihme a quelque chose de singulier. simplet. Qu’est-ce qu’il vous disait?,..Il m’a setablé qu’il voua avait parlé.\t•\t». « v a a r o.\t' Non, non... il m’a regardé seulement. » S I MP L £ T. Pourvu qu’il se sauve toujours comme ça , v’ià c’qû’il nous &ot<.. Allons , baisse la guirlande et partons. Allons cher¬ cher |a Duchesse , que les>homm£s se mettent A là tête, et les femmes... avec moi, A ù revoit, hiOn frète. (ils sortent tousé l'exception d’Evrard qui reste seuletréveur. S CE NE V I. EVRARD. L’apparition de cet homme estasses singulière... XI parait ne connaître. Que me veut-il? Ses traits me sont étrangers... et je ne puis... 11 est vrai que l’étaf; de dénuement dans le¬ quel il se trouve... Comme il considérait. cette inscription I 11 m’a semblé qu’elle lui faisait horreur... Le voicit que- peut-il avoir àrae dire.? (\t. S C E N E ‘‘V I I. VF R É D É R I C , E V R A R D (Frédéric suivant des yeux la sortie des paysans, assurés qu’ils sont k éloignés, s’approche près d’Evrard.^ / FRÉDÉRIC. Evrarà !\t'\tx\ts Duc de Nevtrs.\tô