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■\t5' CM)\t, jours une bonne journée que nous aurojis passée là. Voici tout mon monde. SCENE III. . Les Précédent9 ANSELME , Les Paysans. -\tSIMPLET. Allons donc, vous autres, arrives donc , v’ià une heure et demi qu’il est quatre heures. A N 8 E L M E. Nous v’ià, nous v’ià... Eh ! c’est Evrard !\t'\t- evrard. Bonjour , mes amis, bonjour. . • Eh bien t vous allez Vous en donner , j’espère : une petite fête Comme cela de tems en tems , ça r’donnne du cœur à l’ouvrage. 11 faut ça. SIMPLET. Oui , oui, il faut ça. Allons au-devant d’là Duchesse , et vous , frère , gardes la maison , parce que les provisions... partons. ( Mouvement. ) Ah ! un moment, auparavant répé¬ tons notre tableau... ( A Evrard. ). Vous ailes voir une sur¬ prise... ( Aux paysans. ) Mettez-vous là en avant. ( A An¬ selme. ) Tu connais l’signal , une, deux , trois et tire à toi. Vous autres, moitié par ici et moitié par là ; Anselme à le £1... ( A Evrard. ) Regardez, {il frappe dans ses mains» ) Une, deux 1 trois ; allez. . (Les guirlandes se lèvent et laissent voir à découvert l'inscription tonte entière portant ees mots. Raoul et Çlotilde unis par l'amour. À cet instant Frédéric arrive par la coulisse près de l'avant-scène et re¬ garde l'inscription. Tableau. > ' S C E N E I V. Les Précédent , F H É D É R I C. simplet , regardant C inscription. C’est ça ! ( ilaperçoit Frédéric. ) Ab ! mon Dieu ! tous les paysans, dans la stupéfaction. ' Ah ! mon Dieu î\t'\t1 ' " EVRARD.\t. Qu’est-ce que c’est donc ? simplet. C’est l’homme 1 tous les paysans, a voix basse. C’est l’homme ! s i m P L e t , tremblant. '\t■ N’ayeÉ pas peur... il n’vous Pra pas d’mal : n’est-ce pas , mon brave ? (Frédéric fait signe que non.) Non . .. quand j’vous l’ai dit5 il n’répond qu’avec la tête. . Digitized J by