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simplet., travaillant. Un moment..» j’fais l’amour. C’est fini. Cachons tout ça bien vite» {il descend le t guirlandes sur le mot amour.) S C E N E I I. SIMPLET ,EVRAftD. i vrà rd 9 paraissant. £h bien ? où diable es-tu donc ?\t. simplet. Ici... J’faisais queuque chose... Oh ! vous verres ça plut tard. EVRARD. Et les provisions ? SIMPLET. Sont dans la grange. EVRARD. Les bouquets? .\t(\tV SIMPLET» Sont cueillis. _\tEVRARD. Par conséquent...\tz '\tSIMPLET.\t, "Tout est fait»\t> EVRARD.\t! Allons | tant mieux».• Ah ça ! as-tu la certitude que ma¬ dame la Duchesse viendra à cette fête. simplet. Oui | elle s’est décidée.». c’est pas l’embarras , elle a ben manquée d’iaisser tous nos préparatifs... La visite de c’pé- lerin».» EVRARD. Oui | je le sais : il est venu renouveler sa douleur» SIMPLET C’est vrai... mais c’est passé 9 et.grâce au aire Couci, votre maître , et surtout au chevalier Raoul > ail’ viendra... Mais 9 dites-moi , n’ai-je pas eu une bonne idée d’indiquer le de¬ vant dJnot’ maison pour la cérémonie 9 .\tEVRARD. Oui 9 l’endroit est agréable. 8 I M P L E L. C’est pas tout ; j’attends encore du renfort pour rendre la fête plus complète.\t, EVRARD. Du renfort !<.• comment donc ? SIMPLET. Ces jongleurs9 ces bohémiens 9 qui d’puis qheuques jours