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( 20 ) . W.1 ,'T1, .■■*■■■■■■11 . 7. . .T1..\t\t..'igg. J, , .1 A C T E I . Le théâtre représente un endroit champêtre. <A gauche de Vacteur la maison d’Evrard cette maison , qui est saiUante, à une croisée &u rez de-chaussèe qui fait face au public, Al droite , un banc de gazon. Au fond, deux or^ br^S) aux branches desquels est susnendue une légende sur laquelle est écrit: Clotilde et Raoul unis par l'amour. Cette légende est masquée par des guirlandes de fleurs qui s'élèvent a vo- Ion té. ^Derrière les arbres coule une petite ri* vière. Plus loin un site pittoresque. SCENE PREMIERE. SIM PLET. ( An lever du rideau , Simplet est occupé à poser la légende. Il tient le dernier mot dans sa main. Il s'arrête. ) A- h ! mon dieu !... mon dieu ! queu fête... queu fête;.. Il y a des momens que j’ai peine à concevoir que tout ça soit sorti d’là... ces fleurs... ces guirlandes.,, c’te p'tite rivière cms'qti'il y a d'Peau... vraiment j’suis ravi, et pour comble de bonheur , mon frère aîné qu'est arrivé avec Pseigneur Couci s il est là. ( montrant sa maison. ) Depuis Pmatin , il m'aide... Il n'sait cependant pas que Pseigneur Raoul a tout commandé... Dam ! c'est que j’suis discret moi... J'suis d'une joie... Et mon inscription donc , quand elle s'ra finie.•• Quelle bonne idée j’ai eu de placer cette légende entre ces deux arbres , et d'Ia cacher avec ces guirlandes de fleurs qui s'élèvent et s'baissent à volonté !... Elle est belle la légende^ c'est pas étonnant, c'est M. Raoul qui m'ia envoyée... Elle est dorée sur les bords... c'est la légende dorée... il n'y man¬ que plus qu'un mot pour qu'elle soit parfaite, et c'mot je l’tiens dans ma main, le v’ià. L'amour. Mettons.le en place. ( il l'attache avec. des fleurs. )

  • v r ▲ a d , dans la maison.

Simplet ! s î m r L E T. C'est men frère qui m'appelle... 'Dépêchons-nous : je «'veux pas qu'il voye mon inscription pour à présent. ,\ta v x a x d. Simplet t


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