Page:Varez et Mardelle - Frédéric, duc de Nevers, 1810.djvu/12

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RAOUL. ’ Tu peux parler, ‘\tSIMPLET. Oh! c’est différent... Vfcus saurez donc que le sire Couci... Tient d’arriver 5 il est entré par la porte du parc. RAOUL.\t\ Déjà? SIMPLET. â Oui, mon frère l’accompagne. RAOUL. Ton frère ?\tT SIMPLET. Eh ben, oui , celui qui était au service de monsieur l’Duc avant son départ pour la Terre-Sainte , et qui maintenant appartient au sire Couci,\t( RAOUL, Ah! oui. Je me rappelle... SIMPLET. Le Chevalier a mis pied à terre et a couru droit au jardin où était madame la Ouéhesse ; j’l’ai suivi moi... Il lui parle... il lui parle... Ah ! bondieu !... en vérité on dirait qu’il lui fait des reproches. r JL o u l , à part. Odieux vieillard - SIMPLET. T’nex, les v*là.’. . Oui, ce sont eux, ils viennent de c’côtë. RAOUL. Feignons' de ne les avoir point aperçus, Retirons-^nous. Thibaut , j’acheverai de t’instruire. T H I A U T. Mon dévouement vous est connu. R À O U Lï Suis-nous , Simplet, et surtout de la discrétion, SIMPLET. Oh ! n’ayez pas peur, pour ce qui est d’ça, j’suis connu» (//s sortent tons,} SCENE VII I. C O U C I, C L O T I L D E. COUCI. Oui, madame , mon absence servait trop l}ien les desseins de Raoul. Il voulait en profiter pour obtenir de vous un consentement si favorable à ses intérêts. Je sais ce qu’il est capable d’entreprendre pour arriver à son but , et j’ai ûû me hâter de revenir près de voué. J