Scène III
Enfin, vous voici, mon ami… (Se pendant à son bras.) Nous ne nous quitterons plus !
Hein ?… (Haut.) Permettez, madame… Je comprends la passion que je vous inspire… Elle me flatte, mais elle me gêne. Raisonnons… Vous avez un mari.
Je ne l’aime pas !
Je le comprends, mais votre devoir est de l’aimer.
Il est laid !
Je le sais, mais votre devoir est de le trouver beau.
Eh ! le devoir ! Que m’importe le devoir ! c’est vous que j’aime, c’est vous que je trouve beau et je ne vous quitterai plus !…
Oui, j’aime, enfant, ton doux sourire, |