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LA TERREUR DU FOUET

— Oh ! Oh ! Battez… Battez-moi ! Tuez ! Oh ! Tuez-moi… Mais je… je ne veux pas… Je ne veux pas me déshabiller.

— Ah ! tu ne veux pas !… Ça c’est drôle ! Mademoiselle ne veut pas ! Nous allons bien voir qui commande ici.

Il se baissait et, lui appuyant une main sur la nuque, il assujettissait encore ses jupes dans cette main et, écartant la fente du pantalon, il découvrit les fesses adorables, rouges encore, d’un rouge foncé de la fessée de tout à l’heure, mais où les verges, par les deux coups qu’il venait d’asséner, avaient tracé des raies livides. Et sur ces gentilles, ces pauvres petites fesses, déjà si maltraitées, il se mit à fouetter vite et fort, tandis que Marthe criait :

— Oh ! Oh ! Laissez… Laissez-moi !

— Tu obéiras ?

— Oui ! Oui !… Tout !… Oh là ! Oh là ! là !… Tout ce que vous… vous voudrez. Je ferai tout… Pas ça ! Oh ! non !

— Quoi ? Pas ça ! Alors tu ne veux pas te déshabiller.