Page:Van Rod - La Terreur du fouet, 1909.djvu/15

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

I

— Voyons, ne pleure pas, Marguerite. Ça me fait mal au cœur de te voir comme cela. J’en suis toute bouleversée.

Pour toute réponse, Marguerite, une grande, une belle blonde, de seize ans à peine, et qui, déjà, aux prises avec les amertumes de l’existence, exhalait son chagrin, Marguerite redoublait de larmes, gémissait.

— Ah ! mon Dieu, je voudrais être morte.

— Voyons !…

— Je te dis qu’ils sont heureux, ceux qui sont couchés là.