salope ! C’est toi qui vas voir ce que je vais te faire.
Elle avait levé la main et s’avançait sur Marthe. M. Nicolas souriait. Mais Mme Klotz avait saisi le bras de l’irascible Mme Vlicot qui criait :
— Laissez-moi, vous allez voir comme je vais la corriger, cette morveuse qui me manque de respect.
— Je vous en prie, chère Madame.
— Non ! Non ! Laissez-moi, vous allez voir.
— Un mot ! Un seul mot, je vous prie.
Et, tout en maintenant la dame par le bras, Mme Klotz lui glissait une phrase à l’oreille. Elle laissa retomber son bras, disait en souriant :
— C’est une fameuse idée que vous avez eue là !
— Alors, vous m’approuvez ?
— Si je vous approuve ! C’est-à-dire que j’admire votre esprit d’à-propos. De plus, je serai contente de voir ça. Je parie que ça va être amusant.
— Alors vous permettez ?
— Comment donc, je vous en prie.