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LA TERREUR DU FOUET

— Et vous toujours aimable et charmante. Non. ça ne va pas comme je voudrais.

Marthe, toujours en larmes, agitée dans sa crise de sanglots, s’était levée et rapprochée. Timidement elle tirait sa maman par la robe :

— Viens, maman. Viens, allons-nous-en.

Mais Mme Vlicot se dégageait d’un mouvement sec, disait :

— Comme tu es mal élevée. Vraiment, ton gueux de père t’a trop gâtée. Laisse-moi être polie, je te prie.

Elle s’adressa à Mme Klotz.

— Je parie que vous avez eu des difficultés avec cette petite insolente et que c’est pour cela que vous m’avez fait chercher.

— Justement !

— Et qu’est-ce qu’elle a fait encore ? Dites-moi tout, je vous prie, surtout ne cherchez pas à atténuer sa faute.

Mme Klotz, enchantée de la tournure que prenait la conversation, disait :