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LA TERREUR DU FOUET

core votre derrière pour qu’elle se rende bien compte. D’ailleurs, M. Nicolas ne sera pas fâché, sans doute, de voir quel châtiment vous a valu votre conduite envers lui, l’autre jour.

Comme Marguerite hésitait, Mme Klotz disait :

— Très bien, votre beau-père sera prévenu de votre hésitation à m’obéir.

— Oh ! non, Madame ! Ne le lui dites pas, gémissait Marguerite.

Elle courait se mettre, comme elle l’avait fait tout à l’heure, au fond de la chambre, levait ses jupes, écartait le pantalon, montrait son fessier si joliment rond, dans l’état misérable où la fustigation l’avait réduit :

— Saperlipopette ! faisait M. Nicolas. Mais je serais tout à fait curieux de voir à l’ouvrage l’homme qui a si bien travaillé.

— Vraiment ! fit Mme Klotz. Mais c’est facile.

Elle s’adressa à Marguerite :

— Savez-vous où trouver votre beau-père, maintenant ?