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Qui est là, et que je n’aperçois pas, Et dont les mains frappent doucement.
Et dont les mains, avec des scintillements De diamants, Frappent doucement.
Je ne sais ce qu’il faut te dire ; Laisse-moi t’accueillir Presque en silence ; Laisse-moi te sourire. Et vois comme je m’efforce en ta présence, De toute ma faiblesse et de mon humble amour, A répondre à ce que tu désires.
Vois combien, pour atteindre à tes rêves, Je me hausse et je m’élève. Et tends toute mon âme Pour approcher de Toi, Pour que là où tu es je sois ; Comme je tends mes mains tremblantes Vers toi qui t’inclines et te penches vers moi.
Et vous, mes sœurs, comme d’humbles servantes, Surgissez et venez.