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Archives privées 18.8.1871/112
Cher Monsieur et ami, j’arrive de l’Anjou, Je trouve les Contes imprimés et brochés, et je vous envoie l’exemplaire promis. Je serai bien heureux si, après avoir lu ceux que vous ne connaissiez pas, vous voulez bien me faire connaître votre impression. La question m’est un peu personnelle puisque j’ai pris la responsabilité de