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Toutes ces fêtes dont vous me parlez, ces sites que vous me vantez je les vois, j’y assiste d’ici, mais jamais sans vous : c’est vous qui réchauffez à mes yeux la froide Suisse ; pardon, la Suisse majestueuse mais dont je n’ai pas entendu parler pour la première fois par une bouche aussi sympathique que la vôtre. Je verrais peut-être la Hongrie, tout seul, l’Italie, encore. Mais ces grands monts si écrasants ! C’est appuyé de cœur sur une cœur aussi sûr, aussi noble et tendre que le vôtre, que je consentirai à les gravir. Pardonnez-moi, si je blasphème ; celui qui a fait la